Une gloire que les moins de vingt ans peuvent méconnaître Le peuple jetait la joie par les fenêtres Le CRS portait des guirlandes On sautait du Vélodrome à Gerland Un jour j'étais parti du 9.3 Avant y'avait qu'la boxe ni le choix Fallait y croire, bleue fut l'étoile Que des bonnes poires et on l'a crié sur les toits Le monde entier nous a remarqué Le soir où Zidane a marqué France, 98 L'année où la joie, nous rendait visite C'était en France, 98 L'année où la joie, nous rendait visite Depuis Tous différents, on s'ra jamais pareils Mais, on va rater sans avoir essayé Trouver les raisons d'aimer son pays À supposer que l'on puisse y cueillir Nantes mon nom sur ta liste Allons Marseille le long de Bordeaux Accoster Lille, Lyon d'amitié Grimpons le Montpellier, ha kenavo ! Sans match devenir enthousiasmant Voir les jeunes comme tous diamants J'attends des résultats tout à l'heure Avant que les meilleurs n'aillent tous ailleurs France, 98 L'année où la joie, nous rendait visite C'était en France, 98 L'année où la joie, nous rendait visite Depuis Ah bon? Tu savais pas? Raconte ça à tes descendants Ça faisait la fête avec 200 francs Luttons pour qu'les rapports sentent la vanille Les plus grandes peines sont celles de famille Allons dîner sans cracher dans la soupe Trouver d'autres projets que, tenir une coupe Tous ensemble, bien, c'est ça qui était doux France, 98 L'année où la joie, nous rendait visite C'était en France, 98 L'année où la joie, nous rendait visite Depuis France