Elle n'aimait pas mon deux pièces , séjour ,
Toi qui voyage si tu la croise un jour ;
Reviens me dire , reviens me dire ;
Dis moi un peu si elle porte toujours ,
Dans les cheveux ses essences d'amour ,
Et tout mes rêves , sur ses lèvres ?
Mais promets moi!
Ne t'aproches pas trop,
Si tu poses tes doigts au bronze de sa peau ,
Tu délires , tu délires ;
Sans me méfier je l'ai serré très fort,
Aujourd'hui encore j'en ai les yeux ,
Qui brûlent , qui brûlent ;
Elle est à l'âge des voyages où l'on court,
Des princes Arabes et mariages d'amour,
Des esclaves libres,
Des histoires à suivre,
Moi je ne rentrais souvent qu'un soir sur deux,
Et mes amis étaient des gens curieux,
Difficile à suivre , dis lui ;
Je réapprends à vivre,
Et promets moi,
Ne t’approches pas trop,
Si tu poses tes doigts au bronze de sa peau,
Tu délires, tu délires;
Sans me méfier je l'ai serré très fort,
Aujourd'hui encore j'en ai les yeux,
Qui brûlent , qui brûlent ;
Elle n'aimait pas mon deux pièces séjour ,
Et toi qui voyages si tu la croise un jour,
Reviens me dire, reviens me dire ;
Dis lui que pour elle je donnerais ,
Mon dernier souffle et même celui d'après!!