JE SENS L’ODEUR DE LA POUDRE MAIS JE T’AI VU DÉSARMÉ, COU- PABLE D’UN COUP DE FOUDRE ON S’ETAIT ÉLECTROCUTÉ MAIS MAINTENANT JE SUIS LUCIDE. NOTRE HISTOIRE S’EST ENLISÉE. J’APPRENDS À MÉPRISER ET LE CHAOS QUE J’AI LAISSÉ. J’AI EU TORT SI JE T’AI BLESSÉ. TU N’AS FAIT QUE FAIRE LE MORT. JE T’AI ENTERRÉ. J’AI TIRÉ MA RÉVÉ- RENCE, IRONIE DU SORT CAR MAIN- TENANT, QUAND J’Y PENSE, QUAND JE SUIS SEULE DEHORS, J’AI EU TORT. JE CROYAIS QUE TOUT ÉTAIT SIMPLE QU’IL SUFFISAIT DE PARTIR. J’AI PEUR DES SOUVENIRS QUI GRIM- PENT ET COMMENCET À M’ENVA- HIR. JE PRÉFÈRE LES GUERRES, LES BATAILLES OÙ TOUS LES COUPS SONT PERMIS. À LA SOLITUDE QUI S’INSTALLE SANS L’OMBRE D’UN CONFLIT. J’AI EU TORT SI JE T’AI BLESSÉ. TU N’AS FAIT QUE FAIRE LE MORT. JE T’AI ENTERRÉ. J’AI TIRÉ MA RÉVÉ- RENCE, IRONIE DU SORT CAR MAIN- TENANT, QUAND J’Y PENSE, QUAND JE SUIS SEULE DEHORS, J’AI EU TORT.