J’avoue c’est pas le bonheur Moi je vivais d’amour Aujourd’hui je n’ai plus l’âme sœur J’écoute ma douleur Et le silence est lourd Les secondes sont des heures Et j’imagine ce que tu dis, ce que tu fais, ce que tu penses Et je devine ce que tu vis à ses cotés en mon absence J’ai laissé Les fleurs du jardin se fâner J’ai laissé Ton odeur sur l’oreiller J’ai laissé Les volets fermés tout l’été Pour ne plus voir le jour se lever J’avoue c’est pas le bonheur Moi je rêvais d’amour Aujourd’hui j’en n'ai plus le cœur J’avoue et j’effleure Nos je t’aime pour toujours Qui lentement se meurent J’imagine ce qu’il te dit, ce qu’il te fait, ce qu’il en pense Je devine ce que tu vis à ses cotés en mon absence J’ai laissé Les fleurs du jardin se fâner J’ai laissé Ton odeur sur l’oreiller J’ai laissé Les volets fermés tout l’été Pour ne plus voir le jour se lever Et la nuit j’entends ta voix Et ton corps, je le vois Mais la nuit j’entends dans ta voix Que tu ne reviendras pas J’ai laissé Les fleurs du jardin se fâner J’ai laissé Ton odeur sur l’oreiller J’ai laissé Les volets fermés tout l’été Pour ne plus voir le jour se lever J’ai laissé (4x) J’ai laissé les fleurs se fâner J’ai laissé (4x) J’ai laissé ton odeur sur l’oreiller J’ai laissé (4x) J’ai laissé les volets fermés J’ai laissé (4x) J’ai laissé les fleurs se fâner J’ai laissé Les fleurs du jardin se fâner J’ai laissé Ton odeur sur l’oreiller J’ai laissé Les volets fermés tout l’été Pour ne plus voir le jour se lever Pour ne plus croire aux contes de fées