Puisqu'il faut une fin, puisqu'on ne se verra plus jamais
De la vie, sur la bouche ou en douce
Puisque même un rien, puisque tu as trop peur
Que je ne vois plus mes pieds dans quelque été, tu diras juste

Bye Bye, Bye Bye Beauté, Bye Bye, Bye Bye Beauté.

S'il faut un coupable, s'il te faut un motif
Alors dessine-le à même le sable, à même l'été.
Nous rentrerons à Paris, le cœur bien lourd, un vendredi
En trois mots, vers la bouche de métro.

Bye Bye, Bye Bye Beauté, Bye Bye, Bye Bye Beauté.
Bye Bye, Bye Bye Beauté, Bye Bye, Bye Bye Beauté.

Ça finira comme je l'ai dit, dans les larmes, sous la pluie.
Tout finira comme je l'ai prédit, sans vacarme, sans un cri
Peut-être même un vendredi sous une rame, à Bastille.
Ça finira comme je l'ai dit, comme une panne dans la vie...